Lannée d’après, Anne est de nouveau marraine, de la petite Brigitte Lavoie, née le 24 mars 1675, fille de Anne Godin et Renée Lavoie. Une vie de paysans. Sylvain et Anne ont eu une vie de paysans, comme la plupart de leurs voisins d’ailleurs. Ils n’étaient pas riches; leur train de vie dû être sobre et rustique. Ils se Unecarte cap ou pas cap originale et gratuite. Depama. Annonces Marraine. Textes. Demande. Idées Cadeaux . Découvrez des cartes à télécharger et des exemples de textes pour votre demande de Marraine. Depama. Annonces Marraine. Joli Bouquet De Fleurs. Fleur Rose. Reve Bebe. Cartes Gratuites À Imprimer. Jolie Poeme. Petit Poème. Mugmagique - Cap ou pas cap d'être ma super marraine ? 14,50€ Plus de détails Quantité : Ajouter au panier Pour passer commande, veuillez remplir tous les champs requis du Cen'est donc pas une mais deux gagnantes à qui l'opération "Cap pour elle" donne l'opportunité de traverser l'Atlantique.Lancé par les équipes de la Transat Jacques Vabre Normandie - Le Havre et de la société Saint James à l'occasion de la journée internationale des droits de la femme, ce dispositif avait pour ambition de soutenir la féminisation de la Nhésitez pas a me contacter ★••★★1- Choisissez la grandeur : -Nouveau né Carter's Manches courtes ou Manches longues-3 Mois Carter's Manches courtes ou Manches longues-6 Mois Carter's Manches courtes ou Manches longues-9 Mois . Passer au contenu . Ajouté au panier à l'instant. Qté: Voir le panier () Poursuivre vos achats Soumettre. Bienvenue Cap ou pas Cap est une arcade polyvalente au concept alternatif qui allie la créativité avec la convivialité, s’adressant aux enfants, aux parents ainsi qu’aux proches des enfants. (parrain, marraine, oncle, tante) Je vous propose divers services: plusieurs modes de garde, ateliers créatifs pour tous, anniversaires, vacances 2vDwES. Dans le salon, des vinyles et un disque d’or sous la bonne garde de Rio, 1 an, l’un de leurs deux bergers allemands. © Vincent Capman Benjamin Locoge 30/04/2022 à 1300, Mis à jour le 30/04/2022 à 1338 Guitariste incisif de l’un des meilleurs groupes de rock français, producteur, coach de The Voice» et bête de scène. Dans Jolie petite histoire», Louis Bertignac couche pour la première fois par écrit ses mille vies, un parcours tout en riffs de musicien au long cours, jalonné de rencontres et d’épreuves intimes. Premiers extraits d'une interview vérité. Dans un coin de la pièce, un disque d’or reçu par Téléphone en 1982. Quelques guitares ornent les murs du salon, près d’un piano principalement utilisé par Jack, son fils. Ici, au sud de Paris, Louis Bertignac semble vivre sa meilleure vie avec Lætitia. Celle qui lui a permis de rebondir après une rupture amoureuse compliquée avec la mère de ses filles aînées. C’est elle qui l’a convaincu de se dévoiler avec une sincérité désarmante dans son autobiographie enfance, musique, drogue, sexe, Téléphone, Carla Bruni, The Voice»… Assis devant la cheminée – l’espace fumeurs –, un café à la main, Louis Bertignac s’apprête à refaire l’histoire. Paris Match. En 1957, votre famille fuit l’Algérie où vous êtes né trois ans plus tôt. “J’ai été royalement intégré par des parents qui ont eu l’élégance de ne pas montrer à quel point l’exil les avait désintégrés”, Bertignac. En partant, ils ont perdu leurs amis et leurs racines. Mais à ma sœur et moi, ils n’en parlaient jamais. Tout juste, lors de réunions familiales, évoquaient-ils leurs vacances, plus jeunes, à Constantine. En arrivant en banlieue parisienne, ils ont fait une croix sur le passé. Probablement pour qu’on se sente vraiment français. La suite après cette publicité Lire aussi Louis Bertignac, son mariage surprise avec Laetitia La suite après cette publicité Ils étaient très aimants ?Ah oui ! Même dans les moments difficiles, notamment quand ils se sont rendu compte que je n’allais être ni médecin ni avocat. Eux qui avaient tellement misé sur moi… D’autant que le début de ma scolarité était exemplaire. Et la musique est entrée dans votre vie…À partir de la quatrième, ça a été la cata. Parce que j’ai découvert les Stones et les Beatles. Les uns ne vont pas sans les autres. Je tombe amoureux d’“Abbey Road” et de “Let It Bleed”, que j’apprends à jouer intégralement à la guitare. Je fermais les yeux et je m’imaginais avec Charlie Watts, Paul McCartney. La suite après cette publicité La suite après cette publicité La guitare a aussi un pouvoir d’attraction les filles vous regardent enfin ? Oui, mais je n’en profite pas. Il suffisait qu’un type me dise “Tu connais ça ?” pour s’embarquer dans des heures de jam. Et à la fin de la soirée, toutes les filles étaient parties avec d’autres mecs. J’ai toujours été très timide, je n’ai jamais su draguer. Ça ne s’est pas arrangé avec le temps. Dès qu’une fille me plaît, je regarde ailleurs. [Il rit.] Quand on découvre le rock en 1968, on veut se rebeller contre la société ?Je n’en avais rien à foutre ! Je n’étais pas politisé. Je suis allé à quelques manifs pour rigoler, mais je ne comprenais pas le sens de tout ça. Je n’avais pas envie de me rebeller contre mes parents, des gens qui n’avaient rien fait de mal. Je trouvais même ça complètement con. Pourquoi avez-vous poursuivi dans la musique plutôt qu’à la fac ?Quand j’écoutais les disques, je me sentais libre. Rapidement je suis tombé accro. J’écoutais deux ou trois albums par soir avant de m’endormir, c’était des moments merveilleux. J’étais assez mal dans ma peau, parce que je ne savais pas ce que je ferais de ma vie. Ces questions existentielles me minaient l’armée, le permis… Alors je jouais, le reste m’emmerdait."Higelin a été le premier à me faire confiance. Il voulait faire du rock et je devais incarner ça à ses yeux… " Et vous allez éprouver le besoin de jouer avec d’autres. Vous croisez la route de Jean-Louis Aubert au lycée…Avant lui, j’ai connu plein de musiciens. Mais Jean-Louis m’a conforté. Dès le premier jour, il m’a dit “Je veux être musicien.” Je n’avais jamais vu ça comme une profession. Avec lui, la musique est devenue mon futur. Avant de monter un groupe ensemble, vous êtes engagé par Jacques Higelin comme directeur musical et guitariste pour le disque “Irradié”.Higelin a été le premier à me faire confiance. Il voulait faire du rock et je devais incarner ça à ses yeux… Je n’avais pas de caractère mais j’étais passionné. Il est venu dîner chez mes parents, je me suis installé chez lui et sa femme, je suis entré dans sa vie. Cela m’a donné encore plus confiance. Quand il s’énervait sur scène et disparaissait en coulisses, je me retrouvais seul devant le public ! Alors je jouais des trucs des Stones, comme à l’anniversaire de ma sœur, et cela m’a donné la certitude que j’étais fait pour ça. Mais vous plongez dans la drogue… Pourquoi ?Je sortais avec Valérie Lagrange, je vivais en coloc’ entre Bastille et Saint-Cloud avec elle et Jean-Pierre Kalfon, ça ne me dérangeait pas de squatter ici ou là. Avant, je fumais des pétards. Puis je suis tombé dans l’héroïne. Bon. J’en suis sorti plus tard. Le premier concert de Téléphone a lieu en 1976 au Centre américain de Paris. Cet événement va cimenter une aventure de dix Il s’est passé un truc ce jour-là, pour nous tous, Corine [Marienneau, bassiste], Richard [Kolinka, batteur] Jean-Louis, François [Ravard, manager] et moi. C’était la première fois que nous mettions tout en commun pour réussir un malheureux concert. On a distribué des petites affiches dans la rue, on a pressé des disques, on a tout fait pour que ce soit rempli. Inconsciemment, chacun a considéré que c’était notre vraie chance. Ou peut-être la dernière."Quand j'ai rencontré Corine, elle avait un truc que les autres filles n’avaient pas elle voulait être mon amie et me tenait la main" Téléphone, c’est dix ans de votre vie, ce pour quoi on se souviendra de vous. Le regrettez-vous ?C’est comme ça. Les gens regardent le succès. C’est normal que le public soit plus concerné par Téléphone que par ce qui a suivi. Parce que Téléphone, c’est leur vie, alors que la mienne, de vie, ils s’en foutent. Il m’a fallu du temps pour l’admettre. Vous racontez pour la première fois votre histoire d’amour avec Corine. On découvre combien vous l’avez aimée…Quand je l’ai rencontrée, elle avait un truc que les autres filles n’avaient pas elle voulait être mon amie et me tenait la main. Et je n’avais jamais connu ça, je pensais enfin à autre chose qu’au sexe. C’est pour ça que j’ai été amoureux d’elle si longtemps, avant qu’elle ne veuille sortir avec moi. C’était une femme rigoureuse, avec des principes. On était tous les quatre terriblement complémentaires. Et vivre une histoire d’amour au milieu d’un succès si intense, c’était vraiment spécial. Quand vous la quittez, en 1980, elle tente de se suicider. Vous écrivez “Elle était une entrave à ma liberté.” Ah, au niveau des autres filles, c’était une évidence. Moi aussi j’étais jaloux. Si elle aussi était sortie avec d’autres mecs, je n’aurais pas apprécié."On s’aimait tous vraiment dans Téléphone. On était tous prêts à donner nos vies pour sauver l’autre." Elle va pourtant se consoler dans les bras de Jean-Louis… On tombe dans le vaudeville !Jean-Louis a été très classe en m’en parlant. Mais, oui, cela n’a pas été simple, surtout qu’on a continué à faire de la musique ensemble. J’avais admis que c’était la seule solution pour que la rupture entre Corine et moi soit définitive. “Le vrai assassin, c’était l’héro”, besoin de drogue pour avoir confiance en moi. J’ai pris de l’héro, et j’ai pu passer à l’acte avec Corine. Je n’ai pas couché avec elle avant. La drogue m’a aidé, et il a fallu que ça s’arrête à un moment donné. J’en ai chié. Heureusement, j’étais un homéopathe de la came. Je me faisais des petites lignes, parce que j’étais un vrai trouillard. Un quart de gramme, les mecs, ça leur faisait une soirée. Moi, ça me durait quinze jours ! À propos de Jean-Louis vous écrivez “Entre nous, il n’y a plus de tension, plus de passion non plus. On est des ex sur le plan artistique. […] On s’aimait”…Oui, on s’aimait tous vraiment dans Téléphone. On était tous prêts à donner nos vies pour sauver l’autre. On avait construit un groupe dont on se devait d’être responsables, quelque chose qui correspondait à ce dont on rêvait quand on était gosses. Aujourd’hui, je ne donnerais plus ma vie pour eux, parce que je la donnerais pour ma femme et mes enfants."J’espère que Carla Bruni me pardonnera cette confession. Notre histoire a duré de 1986 à 1990, avec des hauts et des bas." Êtes-vous responsable de la fin du groupe ?On peut dire ça comme ça. Corine a essayé de réparer les pots cassés entre Jean-Louis et moi, mais j’en avais marre. Jean-Louis n’acceptait pas ce que j’apportais. Je ne le supportais plus. Il avait l’impression que Téléphone, c’était lui et point barre. Donc, autant aller voir ailleurs en faisant mon disque solo. On s’est engueulés. Et on n’en a plus jamais reparlé. La vie post-Téléphone va être dure vous chantez devant des salles vides, et votre maison de disques pousse la carrière solo de Jean-Louis au détriment de la Virgin et François Ravard ont choisi Jean-Louis, mais ils avaient des raisons d’agir ainsi. Les fans de guitare étaient moins nombreux que le gros du public. J’ai connu un moment assez long… Même quand “Ces idées-là” passait en radio, tout le monde s’en foutait. Il a fallu dix ans pour que je retrouve confiance, vers 1997-1998. Grâce à Carla Bruni, dont vous produisez le premier album en 2002, vous revenez au premier plan. Vous révélez qu’elle a été votre petite amie quinze ans plus tôt…J’espère qu’elle me pardonnera cette confession. Notre histoire a duré de 1986 à 1990, avec des hauts et des bas. Même si nous avons vécu ensemble, je n’ai pas été vraiment amoureux d’elle. Et elle n’a jamais été folle de moi, loin de là… Quand je fabrique son disque, douze ans plus tard, l’eau a coulé sous les ponts. On s’était recroisés, elle s’était améliorée en vieillissant. Elle n’a pas été une garce avec moi. Je pense qu’elle aurait aimé tomber amoureuse de moi parce que j’étais guitariste de rock dans un groupe connu, mais elle n’y croyait pas plus que ça. Moi, je savais que je n’étais pas amoureux d’elle. Ce qui est encore pire. Mais une chose est sûre elle n’était pas une femme d’intérieur. [Il rit.]"Moi, le pauvre mec largué, pas loin de se suicider parce qu’il perd ses enfants, se retrouve au cap Nègre avec le président de la République ! C’était lunaire…" Pourquoi se tourne-t-elle vers vous, début 2002 ?Elle m’a fait écouter des maquettes que je trouvais franchement nulles. Je suis revenu à l’essence des choses ensemble, nous jouions les Stones en acoustique, juste avec nos voix et nos guitares. Je lui ai proposé de bosser de cette manière-là sur deux morceaux. C’était magnifique. Elle aussi a adoré, et elle m’a demandé de faire tout l’album. Sans moi, elle aurait vendu 12 disques. Êtes-vous toujours proches ?Oui, c’est mon amie. On se parle, on discute, elle est la marraine de ma fille aînée. En 2008, votre compagne Julie vous quitte pour un autre et part avec vos deux filles. Vous expliquez avoir traversé la pire période de votre vie. Et c’est Carla et son mari qui vous consolent…Ils vont me changer les idées. Moi, le pauvre mec largué, pas loin de se suicider parce qu’il perd ses enfants, se retrouve au cap Nègre avec le président de la République ! C’était lunaire… Vous n’aviez rien vu venir, quand Julie vous a annoncé son départ ?Non. Peut-être ai-je péché par excès de confiance ? Peut-être aussi qu’à cette période je n’étais pas très sympathique avec elle. L’arrivée des filles avait déporté beaucoup d’amour vers elles." Jack est arrivé il y a bientôt six ans. Il perdra peut-être son papa avant ses 20 ans, mais je ne voulais pas gâcher cette histoire merveilleuse" Pourquoi aviez-vous attendu 50 ans pour fonder une famille ?Je n’ai pas eu l’impression de me gourer avant… En sortant avec Julie, j’ai eu le sentiment qu’il était temps d’avoir des enfants. Et quand elle s’est barrée pour vivre avec un milliardaire, qui offre à mes filles maison avec piscine dans Paris et séjours à Saint-Barth, moi j’étais le mec minable avec sa guitare dans sa baraque avec des souris du Pré-Saint-Gervais… Ça va mieux aujourd’hui, elles ont rencontré Laetitia, on s’est pris dans les bras et j’ai compris qu’elles ne m’oublieraient jamais. Lætitia a remis les pendules à l’heure ?Je la croise juste avant “The Voice”, je la trouve mignonne, cool et tendre. Elle a eu un truc qu’aucune fille n’avait eu avec moi elle m’a aimé comme personne ne m’a jamais aimé. Elle avait beau être si jeune, elle savait que je serais son mec. C’est elle qui m’a choisi et j’ai laissé faire les choses. Au début, ce n’était pas l’amour fou. Je n’ai pas succombé à un coup de foudre. Peut-être que j’avais peur de me planter, que je n’étais pas en état de tomber amoureux. Et maintenant je me rends compte que ça a été l’inverse de mes histoires précédentes. D’habitude, je suis instantanément “in love” puis tout s’écroule. Là, plus ça va, plus je l’aime, plus je la trouve belle. Avez-vous hésité avant d’avoir un enfant avec elle, à plus de 60 ans ?Je pensais en avoir terminé avec la paternité. J’ai souvent dit non à Lætitia quand elle me parlait d’enfant. Mais j’ai compris que si je continuais à m’entêter, elle allait se barrer. Jack est arrivé il y a bientôt six ans. Il perdra peut-être son papa avant ses 20 ans, mais je ne voulais pas gâcher cette histoire merveilleuse. Et je ne regrette rien. C’est le début d’une vraie vie, une vie majuscule. Même si demain est la grande inconnue, je me vois bien mourir dans ses bras. PAPARA le 9 mai 2014 - Anne Caroline Graffe, médaille d’argent olympique, devient marraine du Village d’Enfants SOS’ de Papara. Rencontre avec cette championne généreuse chère aux Polynésiens. Anne Caroline Graffe est une athlète polynésienne qui a obtenu la médaille d’argent en Taekwondo aux Jeux Olympiques de Londres de 2012 et le titre de championne du monde. Après s’être faite opérer de la hanche elle avait déclaré que l’année 2013 serait une année de récup’ post médaille, sans objectif de résultats. Cette année blanche est écoulée et la championne est de retour au plus haut niveau depuis début 2014 elle a gagné deux opens internationaux qui la positionnent à la première place du championnat mondial, en bonne position pour obtenir la médaille d’or dont elle rêve lors des prochains Jeux au Brésil en 2016. Mais elle n'oublie pas ses racine et vient en aide aux polynésiens qui en ont le plus besoin. Une marraine de prestige pour le Village d’Enfants Avec la simplicité qui la caractérise, elle a décidé de venir en aide aux enfants de l’association Village d’Enfants SOS’ J’ai toujours eu envie d’aider le fenua. Cela fait 12 ans que je suis partie pour faire du haut niveau, mais au fond je connais mes racines et les problèmes qu’il y a à Tahiti. Cela a toujours été dans un coin de ma tête et aujourd’hui, grâce à ma médaille olympique, j’ai une notoriété qui fait que je peux peut-être faire quelque chose. » Son projet est de lancer une récolte de fonds via internet ouverte à tout le monde en mai, juin et juillet, en métropole et en Polynésie. Je reviendrai au Village en juillet pour faire la remise officielle. Ces fonds serviront à financer plusieurs projets, notamment des activités, et si on a une plus grosse somme pour aider à construire un fare pote’e. C’est important d’avoir un lieu de rassemblement, et je serais bien contente de mettre ma pierre à l’édifice. Aujourd’hui je commence par le SOS Village d’Enfants’, l’objectif c’est de pouvoir aider plusieurs associations à l’avenir. » Le Village d’Enfants SOS a près de vingt ans d’ancienneté. Sa mission est de protéger les enfants placés par décision judiciaire et de servir de relais familial de secours pour les fratries qui connaissent des difficultés plus ou moins longues. Certaines recherchent une famille d’accueil, de plus en plus rares en Polynésie. Le retour sportif d’Anne-Caroline Graffe Championne du monde en 2012, la polynésienne a eu une mauvaise année 2013. Il y a un an, j’ai fait les championnats du monde et j’ai fini 3ème, puis j’ai été opérée de la hanche. » Mais elle a fait son retour en janvier dernier. Depuis, j’ai fait plusieurs tournois internationaux car le but c’est de se préparer pour gagner les championnats du monde et les championnats d’Europe. Gagner des compétitions me rapporte des points pour le classement mondial » explique la jeune sportive. Ce classement n’a pas qu’une valeur symbolique La règle c’est qu’il faut être dans les six premières mondiales pour se qualifier pour les jeux olympiques. Je suis numéro 1 mondiale donc le but c’est de maintenir ma place. Si j’y parviens, dans deux ans je pars pour Rio et il n’y a rien qui m’arrêtera. La médaille d’or est en ligne de mire et je ne lâcherai pas le morceau. » Car Anne-Caroline Graffe ne se satisfait pas d’un seul titre On me dit tout le temps qu’il faut digérer une année post olympique, mais cela ne sert à rien de briller une fois, le but c’est de rester au top le plus longtemps possible ! » Mais les ennuis de santé ne sont pas terminés. Je suis venue à Tahiti pour me ressourcer. J’ai pris un coup pendant une compétition et l’os de ma main s’est cassé. Du coup opération, trois mois d’arrêt. Mais je m’entraîne toujours. Les gens qui me voient faire des courses dans l’eau à Paea doivent me prendre pour folle. Etre athlète de haut niveau c’est aussi savoir ne pas lâcher l’affaire et cela tombe bien car je n’en ai pas encore envie. » Ma prochaine échéance est en juillet, un grand prix en Chine, une compétition très importante pour le classement mondial. Je peux ramener 40 points, autant que pour un championnat d’Europe. Ce sera la première compet’ après mon opération de la main, je tiens le cap ! » sourire Comme Clémence devenez un aventurier !"Je suis si fière d’être la marraine de l’univers Koh Lanta au parc France Miniature !C’est l’endroit idéal pour passer un magnifique moment de convivialité et de partage en épreuves, du sable, de l’eau, tout est là pour vous permettre de toucher du doigt cette aventure qui nous fait tous tant rêver !!!Et tout cela à 25km de Paris !!!...Alors si vous aimez l’aventure n’hésitez pas, vous ne serez pas déçus ! "clemencecastelofficiel ,le 23 avril 2022 Si vous êtes inscrit à la Mission Locale, vous pouvez maintenant devenir parrain, marraine ou ambassadeur pour cette structure. On vous explique tout ! L’équipe de la Mission Avenir Projet Parrainage » La Mission Locale a mis en place, depuis avril, le projet Parrainage ». Il s’adresse aux jeunes déjà suivis par la structure et les invite à échanger avec des personnes de leur entourage, âgées de 16 à 29 ans, qui n’ont pas d’emploi, ne sont pas en formation et ne sont pas étudiants. L’objectif ? Les informer sur les différentes façons dont la Mission Locale peut les accompagner. Les jeunes sont vraiment acteurs dans ce projet, insiste Pascaline Robert, conseillère en insertion socio-professionnelle, en charge de la Mission Avenir à la Mission Locale. Ils servent de lien avec ce public que nous ne touchons pas. Ils peuvent leur parler de leur propre expérience et ainsi leur donner envie de s’inscrire à la Mission Locale. L’idée, c’est vraiment de désinstitutionnaliser les liens ». Ils peuvent également utiliser les réseaux sociaux pour échanger avec leur entourage. Il s’agit vraiment d’arriver à créer un cadre convivial autour d’un sujet aussi sérieux que l’insertion socio-professionnelle », poursuit Pascaline Robert. Si les parrains et marraines s’engagent bénévolement sur leur temps libre et ne sont donc pas rémunérés, celles et ceux qui auront mis en contact le plus de jeunes avec la Mission Locale recevront, en fin de mission, une récompense. Vous êtes intéressé ? Envoyez un mail à ou appelez le 06 70 47 19 28. Vous pouvez aussi contacter Pascaline Robert sur son compte Facebook, Pascaline Milo. Projet Ambassadeur » Le Projet Ambassadeur » vient d’être lancé et s’adresse lui-aussi aux jeunes déjà inscrits à la Mission Locale. Les ambassadeurs seront présents lors des permanences, des événements organisés par la structure ou encore, lors des déplacements dans les quartiers. Il s’agit d’avoir un visage jeune lors de ces moments de rencontre afin que le public soit plus à l’aise, explique Noémie Berlet, conseillère en insertion socio-professionnelle, en charge de la Mission Avenir à la Mission Locale. C’est quelqu’un qui pourra parler de façon moins formel des actions que nous menons, de l’accompagnement que nous proposons,… ». Les ambassadeurs pourront aussi communiquer sur les réseaux sociaux et partager l’actualité de la Mission Locale sur leurs comptes personnels. Ils seront accompagnés, lors de cette mission, par les conseillers. Nous continuerons à être à leur écoute », assure Noémie Berlet. A la fin de leur mission, qui durera un an, les ambassadeurs recevront tous une récompense. Attention toutefois contrairement aux parrains et marraines, le nombre de place est limité puisqu’il n’y aura qu’un ambassadeur par quartier prioritaire messin et par secteur couvert par la structure Pays de Pange, Sud Messin, Vallée de l’Orne et Metz Métropole. Vous êtes intéressé ? Envoyez un mail à ou appelez le 06 70 47 19 28. Vous pouvez aussi contacter Noémie Berlet sur son compte Facebook, Noémie Milo. Error 523 Ray ID 73d9d92ca8b2009b • 2022-08-20 084444 UTC AmsterdamCloudflare Working Error What happened? The origin web server is not reachable. What can I do? If you're a visitor of this website Please try again in a few minutes. If you're the owner of this website Check your DNS Settings. A 523 error means that Cloudflare could not reach your host web server. The most common cause is that your DNS settings are incorrect. Please contact your hosting provider to confirm your origin IP and then make sure the correct IP is listed for your A record in your Cloudflare DNS Settings page. Additional troubleshooting information here. Cloudflare Ray ID 73d9d92ca8b2009b • Your IP • Performance & security by Cloudflare

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