Ce sont des productions nationales, mais ceux-là sont des lots congelés, c’est pour cela qu’elles sont aussi chères », explique-t-il. Les fruits de saison, comme l’orange, coûtent entre 30 DA et 60 DA. Les marchands mettent cela sur le compte de la « qualité ». Les acheteurs, eux, ne se posent pas trop de questions. « Tout a augmenté. Sonprix grimpe jusqu’à 200 DA chez certains marchands aux abords des cités. Il s’agit de ce que rapporte Le Soir d’Algérie. Un marchand ambulant stipule au quotidien national que le prix de la tomate varie entre 100 et 120 DA ces derniers jours. Le coût diffère selon la qualité et les prix du marché de gros, dit-il. Les détaillants n’hésitent pas à imputer cette Enoutre, en prévision du mois de ramadhan, dont la nuit du doute est prévue pour le lundi 12 avril, Mohamed Kharroubi a assuré que «les préparatifs vont bon train en vue d’assurer un approvisionnement régulier des marchés nationaux en légumes, fruits, viandes rouges et blanches». A ce propos, il a affirmé que la disponibilité des produits agricoles durant le mois Lacourgette est cédée entre 100 et même à 120 DA (contre 60 DA une semaine auparavant), la carotte entre 80 et 120 DA/kg et les aubergines entre 70 et 80 DA/kg. Les prix de l’oignon et de la pomme de terre sont, par contre, restés quasiment stables, et s’affichent entre 40 et 50 DA/kg. Les étals du marché de Bachdjarah affichaient, en revanche, des prix SCÉNARIOSDE COMMERCE INTERNATIONAL ET DE PRIX 6.1 Oignon 6.2 Pomme de terre 6.3 Tomate 6.4 Ail 6.5 Chou-fleur 6.6 Des haricots 6.7 Aubergine 6.8 Citron 6.9 Pommes 6.10 banane 6.11 Raisins 6.12 fraise 6.13 Pastèque 6.14 Rendez-vous 6.15 Olives 7. ANALYSE RÉGIONALE 7.1 Analyse PILON 7.2 Analyse de la chaîne de valeur 7.3 Politiques Envisite à la Safex où se tient l’évènement, le Premier ministre a reconnu publiquement que les prix des fruits et légumes demeurent élevés en Algérie. Mais il a soulevé un paradoxe : en dépit d’une production « abondante », les fruits et légumes ne sont pas à la portée de tous les Algériens. QkWX. Temps de lecture estimé 50 secondes Chaque semaine, La Minute C vous propose un tour d’horizon des prix du marché. Du blé dur aux fruits, en passant par le prix de la pomme de terre, toutes les informations extraites directement du site de la direction du commerce de la Wilaya d’Alger vous seront révélées et seront analysées. La semaine n’est clairement pas propice aux grandes courses du mois. Phénomène de rentrée oblige, les fruits et légumes ont, en l’espace d’une semaine, augmenté considérablement. On peut retenir une somme de 20 DA de plus en moyenne sur la majorité des légumes, à l’image de la tomate qui passe de 100 à 120 DA en une semaine, mais aussi la pomme de terre qui augmente de 10 DA. L’augmentation la plus spectaculaire touche l’ail qui prend 50 DA de plus en une semaine. Côté fruits, la règle est la même. La banane, baromètre absolu des prix du marché, n’a pas échappé à l’augmentation de 20 DA. Notons le prix du citron qui pour sa part a pris 50 DA de plus en une semaine. Il est à noter que si certains prix n’ont pas changé, nous n’avons noté aucune diminution cette semaine. Related Tagsfruits légumes prix algériemercuriale alger fruits légumesprix des fruits et légumes alger Les prix des fruits et légumes continuent d’augmenter sur les marchés de gros et de détails de différentes régions du pays. Les consommateurs ont été désagréablement surpris ces derniers jours, par une nouvelle hausse des prix de l’ensemble des fruits et légumes. Une flambée qui laisse penser que la situation s’aggravera davantage à l’approche du mois de Ramadhan. A titre d’exemple, la pomme de terre est proposée entre 100 et 120 DA le Kg soit une hausse de 10 DA en l’espèce d’une semaine. Pour la tomate, ses prix tournent autour de 130 et 140 DA le kg, soit une hausse de 20 DA en semaine. La hausse a touché également l’union et les carottes dont le prix a atteint les 70 DA le Kg. L’ail a de son côté enregistré un nouveau record. En effet, ce produit indispensable au mois du Ramadhan, est affiché à plus de 1150 DA le Kg. Économie Une grande vente directe de produits à prix coûtant est organisée jeudi à Paris et en banlieue par le PCF et le syndicat paysan Modef. Semaine animée pour les fruits et légumes, et qui ne fera certainement qu'amplifier le débat sur leurs prix. Jeudi 21 août, le syndicat paysan Modef et le Parti communiste organisent, comme tous les étés depuis quatre ans, une grande vente directe 60 tonnes de produits à prix coûtant, à Paris et en banlieue, avec Marie-George Buffet en invitée vedette. L'objectif est de dénoncer les marges de la grande distribution. "Les prix sont élevés à la consommation, bas à la production, et la moitié des producteurs ont disparu en trente ans", s'enflamme Raymond Girardi, le secrétaire général du Modef. Puis vendredi et samedi, les Français découvriront des opérations de promotion devant et dans les magasins, organisées main dans la main par les producteurs – du syndicat agricole FNSEA cette fois – et les distributeurs. Pour ce faire, ils ont reçu l'aval du gouvernement, qui a autorisé ces opérations spéciales car les prix des légumes d'été, courgettes, tomates et melons principalement, sont... anormalement bas, et qu'il faut liquider ces stocks périssables ! Alors même que l'offre était importante et les prix modérés, les consommateurs ont boudé ces produits, ce qui a fait chuter les prix. Une situation qualifiée de crise par le ministère de l'agriculture. Pour ajouter à la confusion, les prix des fruits à noyaux prunes et abricots, eux, sont plus élevés que la moyenne, car la récolte est faible, à cause d'un gel tardif au printemps. Difficile pour un non-spécialiste de se forger un avis sur la réalité des prix. D'autant que les chiffres publiés par ceux qui s'évertuent à prouver que les prix sont hauts, et ceux qui tempêtent qu'ils sont bas, divergent. Dernier épisode en date, une étude réalisée par l'association Familles rurales et publiée mardi 19 août par La Croix. Elle démontre que le coût pour un couple avec deux enfants de plus de 10 ans respectant les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé, soit 400 grammes de fruits et légumes par jour, s'élève cet été à 131 euros, soit 12,6 % du smic. Interfel, qui représente la filière du producteur au distributeur, lui a répondu dans un communiqué reprochant à Familles rurales des calculs peu représentatifs. Selon elle, le budget mensuel, sur l'année, s'élèverait à 72 euros. UN PRIX MOYEN AU KILO DE 1,98 EURO Cher, pas cher ? Chaque camp tranche différemment. "Certains produits sont vendus à des prix compétitifs, après, tout est question de choix personnel", explique Jérôme Bédier, le président de la Fédération du commerce et de la distribution FCD. Pour le prouver, celle-ci a mis en place un indicateur, appelé "5-1-2", pour "5 produits pour plus de 1 kilo et moins de 2 euros", soit une consommation quotidienne pour deux personnes, et démontre, exemple à l'appui, que c'est possible. Angélique Delahaye, présidente de la Fédération nationale des producteurs de légumes, une branche de la FNSEA, ajoute un dernier argument "En moyenne, les fruits et légumes, au kilo, coûtent de 2 à 3 euros. Si on compare au reste de la gamme alimentaire, ils font partie des produits les moins chers." Mais dans un contexte d'inflation des prix alimentaires sur l'année, le sujet déjà sensible est devenu explosif. Selon TNS Worldpanel, le prix au kilo moyen s'est élevé à 1,98 euro en 2007, contre 1,92 en moyenne entre 2002 et 2006. D'après les relevés de l'Insee, entre juillet 2007 et juillet 2008, les fruits ont augmenté de 20 %, aléas climatiques obligent, les légumes n'ont gagné que 1 %. Observer les indices de prix à la consommation de l'Insee permet surtout de comprendre que les prix varient énormément d'un mois sur l'autre, contrairement au reste des dépenses alimentaires, et qu'avoir des repères n'est pas aisé. Car c'est bien là la particularité du prix des fruits et légumes, être très fortement dépendant de l'offre et de la demande. Ces deux données sont elles-mêmes liées à la météo, qui influe aussi bien sur le volume de production que sur les envies de consommation, souvent décalés de surcroît. Après des années d'antagonisme entre producteurs et distributeurs, les professionnels délivrent désormais le même message il est possible d'acheter des produits bon marché, chaque semaine, en suivant l'offre et les saisons. Même si les producteurs, comme aujourd'hui ceux de melons, se demandent encore pourquoi une pièce vendue par eux 75 centimes peut se retrouver sur les étals à plus de 2 euros. "N'oublions pas les frais de conservation ou le transport. Faisons comprendre que le prix moyen au kilo n'est pas scandaleux, et arrangeons-nous pour que dans la filière, chacun gagne sa croûte", propose Mme Delahaye. Même si le Modef critique l'opération, le reste des acteurs veut jouer le jeu, en cas de crise sur certains produits, des ventes au déballage. Elles se tiendront les 22 et 23 puis les 29 et 30 août, et enfin les 8 et 9 septembre. Un outil utilisé une première fois en 2007 pour les pêches et les nectarines, et qui pourrait se généraliser grâce à une simplification de la procédure administrative. Il faut pour l'instant un accord du ministère de l'agriculture et de Bercy pour autoriser ces opérations d'urgence. L'avantage est que tout le monde peut s'y retrouver le gouvernement, car les Français, inquiets de leur pouvoir d'achat, peuvent acheter des produits bon marché ; les consommateurs, pour la même raison ; les producteurs, qui vendront un produit qui avait du mal à trouver preneur et espèrent que l'opération permette un redressement des prix, une fois les surplus écoulés. Enfin, la distribution peut y trouver son compte, car les promotions attirent les clients dans les rayons. Laetitia Clavreul Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. On incrimine les dégâts causés par les récentes intempéries, on dénonce le dérèglement du marché de gros ; il y a toujours un prétexte pour justifier le prix élevé des fruits et légumes. Toujours est-il que ce prix est anormalement élevé malgré une saison clémente et une surabondance en qualité et en quantité de nos produits agricoles. Cette surabondance se remarque par les grandes quantités des fruits et légumes sur les étals des marchands. Ces produits agricoles sont présentés en quantités si énormes que l’on doute des chances d’écouler la marchandise dans la même journée. C’est le cas des pommes de terre, des oignons, des mandarines, des oranges, des grenades, des dattes, des navets, des carottes, des aubergines, des courgettes, du chou-fleur, de la laitue et aussi des pommes, tous de production locale. Les prix de ces fruits et légumes oscillent dans une fourchette située entre 100 et 600 dinars. Pour l’ail, le kilo franchit allégrement la barre des 1 000 dinars C’est trop pour le panier de la ménagère, qui se résout bien souvent à n’acheter ces fruits et légumes que par unité. Pourtant la qualité de ces produits que génère le sol algérien ne peut qu’être admirée. Ils sont d’abord bio, à l’iverse de ceux que l’on trouve dans les pays industrialisés et qui regorgent de revitalisants chimiques et de conservateurs nuisibles à l a santé. Nos produits sont aussi attirants par leur fraîcheur et leur goût naturel. Ainsi cette année les chou-fleurs sont les rois du marché. En les voyant si appétissants, on ne peut s’empêcher de penser à une soupe fumante et vivifiante avec ce légume, digne produit de notre terroir. Il en de même pour la laitue, superbe cette année, donnant une salade savoureuse et bienfaisante. Il faudrait que les prix des légumes soient en harmonie avec le pouvoir d’achat du citoyen algérien moyen. La consommation régulière des fruits et des légumes constitue le garant d’une bonne santé, et l’Algérie génère en abondance ces produits agricoles. Nombreux sont les Algériens qui connaissent les valeurs nutritives de nos fruits et légumes. Soit ils les achètent par unité dans les marchés, soit ils guettent le passage des vendeurs ambulants qui offrent des prix mois élevés. Certains même se déplacent en voiture en fin de semaine pour s’approvisionner dans des marchés dans les localités voisines. Pour ceux qui n’ont pas de véhicule, le marché de l’Aquiba, à Belcourt, est le seul espace dans la capitale où les prix des fruits et légumes peut être abordable. On trouve, à titre d’exemple, des tomates à 50 dinars le kilo, alors qu’ailleurs c’est le double ou le triple. Algérie – La mercuriale s’enflamme ! Depuis le début du mois sacré, les Algériens n’arrivent plus à suivre. Dzair Daily vous en fait le témoignage et vous rapporte les prix des fruits et légumes, mais aussi des viandes en Algérie. C’est dans la suite de cet article du 11 avril bourse du citoyen moyen se réduit comme une peau de chagrin. Particulièrement durant ce mois sacré, ou la demande est d’autant plus forte, notamment en matière de produits alimentaires. D’ailleurs, les prix des fruits et légumes ont augmenté de façon fulgurante en Algérie, et il en est de même pour les viandes blanches et suffit de faire un tour dans les marchés et dans les boucheries pour se rendre compte de l’ampleur du phénomène. La première dizaine du mois sacré est passée et avec elle une partie de la bourse du citoyen. Ce dernier ne ne trouve plus comment faire face à cette hausse incessante des prix. D’autant plus que les produits de grande consommation qui étaient autrefois épargnés, sont fortement touchés ces dernières titre d’exemple, la pomme de terre est devenue inabordable. Surtout pour les grandes familles. Elle est affichée à 125 DA le kg. La tomate est à 110 et la courgette à 130 DA le kg. La salade est affichée à 230 le kg et le concombre à 150 DA. Le poivron quant à lui est cédé à 180 DA le kg. Et malgré la baisse constatée des prix au niveau des marchés de gros ces derniers jours, les détaillants continuent d’appliquer ces prix conséquente de tous les produits alimentairesIl faut dire que cette année, les fruits sont les grands absents des tables ramadanesques. Et la raison en est très simple. Ils sont tout simplement hors de portée. La banane a atteint le prix record de 700 DA. La pomme est affichée à 500 DA tandis que la boîte de fraises de saison est cédée à 400 DA. C’est en tout cas ce que rapporte ces prix ne sont rien comparés aux tarifs appliqués par les bouchers. Il faudra en effet compter DA pour un kg de viande de mouton, et DA pour le même poids de viande de bœuf. Le poulet, qui était à la portée des ménages moyens est désormais un produit de luxe. Il se vend à 440 DA le kg. Il en est de même pour les œufs, le plateau ayant atteint le prix de 460 DA.

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